Le sac-à-dos

Comment faire son sac-a -dos ?
Pour rendre chaque temps de trajet un peu plus agréable, il va falloir optimiser au mieux votre sac. Pour cela, vous le savez déjà, il doit être le plus léger possible.

Les taxis ne grimperont pas toujours jusqu’à votre hébergement, certains transports imposent de voyager avec le sac sur les genoux, et presque tous les vols régionaux ont une franchise bagages très limitée. C’est pourquoi 15 kilos par personne nous semble être idéal et si c’est moins, c’est tant mieux !

Voici quelques conseils d’optimisation :

– Favorisez des habits simples, qui s’assortissent facilement et offrent plusieurs fonctions. Par exemple, un legging qui peut faire office de pyjama, de pantalon de randonnée/sport ou de collant. Le paréo, lui, peut servir tour à tour d’écharpe, de jupe, de drap, de serviette, ou encore,  pour recouvrir ses épaules dans certains lieux de culte.

– Des habits qui sèchent vites et qui ne se froissent pas.

– Regrouper vos « petites affaires » (câbles, kit de couture, boules Quies, jeux de dés, etc.) dans une ou plusieurs pochettes pour ne pas les éparpiller et les trouver facilement.

– Inutile de prévoir toute sa lecture à l’avance, les auberges de jeunesses ou guest house proposent souvent des échanges de livres en toutes langues ou même des dons. Profitez sinon de vos passages dans des grandes villes (et parfois moins grandes) pour fouiner dans le rayon « français » d’une librairie. Bien sûr, il vous reste également l’option plus moderne de la liseuse.

Enfin, gardez en tête que l’on trouve beaucoup de choses sur place. Les objets non essentiels peuvent être achetés en cours de route s’il y a une soudaine nécessité.

Il ne faut cependant pas oublier certains indispensables. Où que vous alliez :

– une pochette hermétique pour garder à l’abri de l’humidité ses papiers précieux comme les passeports,
– un k-way,
– une paire de tongs pour les douches communes à l’hygiène parfois douteuse,
– un sac à viande lors de trajets de nuit ou pour éviter une literie douteuse,
– une lampe frontale pour certaines randonnée débutant de nuit ou des coupures d’électricité plus courantes que l’on ne croit,
– un couteau à tout faire,
– un adapteur selon le pays (inutile en Asie du Sud, Asie du Sud-Est mais indispensable en Amérique du Nord),
– un petit cadenas pour fermer votre sac lors des longs transports de nuit,
– un sac pour le linge sale,
– un gel hydroalcoolique pour les pays où se laver les mains est indispensable mais souvent impossible,
– une trousse à pharmacie basique, complétée des recommandations et prescriptions de votre médecin traitant.

Cette liste n’est évidemment pas exhaustive mais suffisante pour de nombreux pays si l’on veut se présérver d’un sac-à-dos trop lourd à porter.

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